5 réflexions sur « Bombay et les enfants des rues »

  1. OH, ces petits êtres, ces pauvres hères… Cela me fait mal au cœur, et pourtant, dans l’ensemble, ils gardent le sourire, sont contents avec ce qu’ils ont… Une pitié… !!!
    Bisous,
    Nadia,

  2. ben… apparemment, ils ont des assiettes pleines ! maintenant, comme à Ceylan, c’est une tradition que de vivre dehors, la maison ne sert que pour dormir.
    Bien, le coup du portable parce que certains s’imaginent qu’ils sont pauvres car il n’ont pas les mêmes choses que nous.
    à Ceylan, tous le monde vivaient dans les rues, il y avait plein d’enfants, mais aucun n’était malheureux… si le seul critère est d’avoir un portable, c’est nous qui sommes (pauvres), au moins d’esprit !
    l’autre paradoxe, c’est que plus les gens sont pauvres, et plus ils font de gosses !
    si la chine n’avait pas régulé sa natalité, combien ils seraient ??? sur ces photos, j’ai vu des enfants qui ont plus de vitalité que les nôtres !! à plus 🙂

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